2009

 

Dimanche  le 22 mars j'ai terminé mon premier Step pour la préparation des 100 kms du Passatore. L'épreuve sur la rue a bien réussi, j'ai amélioré le temps sur la demie-marathon de bien 2 minutes le baissant à 1.25. La compétition est bien allée malgré le vent et les nombreuses courbes et les sauts de trottoir qui n'ont pas certainement aidés. Maintenant je suis en train de me jeter tête baissè dans la marathon de Padoue, deuxième Step, puis je pourrai hasarder un temps sur le "Passatore

 

 

 

 

JJJN.1

MARATHON DE PADUA

Grande fatigue au Marathon de Padua: je suis parti bien , en restant devant les ballons des 3 heures jusq’au 36ème km. J’ai couru avec l’envie de faire une très bonne compétition en vue du Marathon de 100 km du PASSATORE. Mais, malheureusement, quelque chose  n’ a pas fonctionné.
Je m’étais entrainé pour battre de loin mon temps (marathon de Milano2007, couru en 3 heures 8 minutes et 47 seconds) mais j’ai du me rendre quand je goutais déjà ma victoire. La ligne d’arrivée étais très près de moi mais il semblait qu’il y avait un abìme.
6 kms de souffrance : je pouvais sentir mes pieds mouillés par les ampoules, j’avais les jambes dures et douleurs par tout mon corps.
Au 40éme km je réussissais encore à voir clair, et, après un  arret de 2 minutes , je partais  pour m’arreter encore deux fois.
Quand j’ai vu la ligne d’arrivée je croyais  rever mais j’étais là et je franchissais la ligne en 3 heures 5 minutes et 36 seconds.
Je n’ai pas abattu le mur des 3 heures mais j’ai amélioré mon temps de 3  minutes  et je crois qu’ il est un très bon résultat en considérant mon age( 50 ans).
Maintenant, je dois penser au PASSATORE et puis on verra bien !

Au revoir à tout le monde

 
 
 

 

JJJN.2

100 Kms du PASSATORE

Le 31 mai à 1 heure environs, j’ai terminé la 37ème édition du marathon de 100 kms du Passatore., selon mes prévisions en 10 heures et 9 minutes, même si au 45ème km, à cause de fortes crampes aux jambes, j’étais forcé à être soigné par les médecins de la compétition lesquels me conseillaient de me retirer.Au moment de l’accident, j’étais à la 21ème position et, cependant, j’ai réussi, en groupant toutes mes forces, à arriver à Faenza à la 85ème position absolue et à la 8ème de catégorie, sur 1400 participants et 979 hommes arrivés.

Franchir la ligne d’arrivée a été une grande joie que j’ai partagée avec mes copains d’aventure.
Davide D’Amanzo qui m’a soutenu quand je me portais mal et quand je suis reparti, a été près de moi jusqu’au 50ème km et il a su me faire affronter  la descente parfaitement, en me passant la gourde au moment du besoin et en me donnant des vêtements secs.

Au 80ème km Antonella Farina est entrée dans la compétition et avec sa tranquillité, m’a accompagné jusqu’ à l’arrivée, en parcourant avec moi, les derniers 20 kms, en cherchant à me calmer quand je commençais à avoir des crampes aux mollets.Tout ça a été cordonné par ma copine Gloria qui, avec sa voiture, m’a suivi pas à pas pour tous les 100 kms.

En fin je voudrais partager cette joie avec le Centre Athlétique  De Favaro, avec le Président Roberto Scordamaglia et avec Paolo Barghini, ultra-marathonien de Carrara qui m’a conseillé et trainé en ces derniers mois.Maintenant, je vais me reposer et puis, peut-être en Novembre, je commencerai avec les compétitions du désert, en cherchant d’autres satisfactions.

 
 
 

 

JJJN.3

150 Kms non-stop de BOAVISTA

Le 4 Décembre 2009 à 11 heures, j’ai terminé ma grande aventure au ultra-marathon de BOAVISTA, dans la République de Cap Vert (8ème parmi tous et 2ème de catégorie).

La non-stop compétition, long de 150 kms, dans la capacité de nous suffisant à nous-même, est partie à 7 heures locales pour aller autour de l’ile africaine désertique.

Cependant mes bonnes conditions physiques, J’ai eu de différents problèmes.
Au 10ème km Je tombais près du désert de Viana et je me blessais à la jambe droite sérieusement.
Après avoir enlevé les pièces de bois qui s’étaient plantées dans la jambe, je continuais jusqu’au 2ème CP, où le médecin me soignait la blessure.

Après quelques minutes, je repartais et au 4ème CP, ma femme Gloria qui m’attendait, me donnait une bande de toile pour presser la blessure qui saignait et s’était gonflée.

Au 6ème CP je devais m’arrêter une demi-heure pour soigner les ampoules sous mes pieds et mes talons.

Je ne réussissais plus à courir car les douleurs aux pieds étaient très fortes ; mais je continuais et au 7ème CP j’étais rejoint par la deuxième des femmes, la mythique Francesca que j’avais déjà connue au marathon de 100 kms du Sahara et, ensemble, nous continuions notre compétition.

Malheureusement, après le 8Eme  CP nous nous sommes trompés de route et, pour deux heures, nous sommes passés hors de la piste, où il y avait beaucoup de pierres, en cherchant la juste direction. Il commençait à faire nuit et nous ne savions pas où nous étions.

Retrouvée la route, nous continuions, CP après CP, et, au 13ème, nous nous sommes rendu compte qu’il était l’aube.

Dés ce moment là, il a été dramatique car les pierres trouvées dans les pistes m’avaient fait sauter quelques ongles des pieds qui étaient déjà mal en point. Nous devions encore parcourir 25 kms sur le pavé et 10 kms sur l’asphalte.

Avec beaucoup de problèmes, pas à pas, nous réussissions à rejoindre la ligne d’arrivée. NOUS AVONS GAGNE’, nous-mêmes, nous classant 8ème parmi tous, par le même temps de 28 heures.

Malheureusement, la sable entrée dans les ampoules avait infectée mes pieds et, le jour suivant, j’ai du me faire soigner par le médecin du Marathon.

Les souffrances physiques sont en train de s’en aller mais la joie que j’épreuve me fait bien espérer et me fait déjà bien voir la prochaine compétition : LE MARATHON DE SABLE au Maroc en Avril 2010.

 
 
2010

 

JJJN.4

LE MARATHON DES SABLES

Cependant les défavorables prévisions pour an accident que j’ai eu vingt jours avant le départ au Maroc, J’ai affronté le défi du Marathon des sables – 250 kms, me suffisant à moi-même – qui a eu lieu dans le Désert Marocain de 4 au 11 Avril, me classant à la 276ème place absolue parmi 1015 participants.

La compétition, très dure, s’est effectuée en six étapes et elle comprenait deux marathons, une étape de 82 kilomètres, une de 29, une de 35,5 et la dernière de 23 kilomètres.

Le paysage était très différent : des dunes de sables aux montagnes, des secs lacs salés aux oasis.

J’ai voulu terminer la compétition, même si je savais que je ne pouvais pas obtenir un bon résultat car je n’étais pas en bonne forme à cause de la rupture de deux ménisques, laquelle m’a fait suspendre mon entrainement pour un mois environs.

Cependant, j’ai été le seul parmi les trois participants venus de Ligurie ( Trincheri de Savone, classé à la 6ème place au MDS 2009 et Mattone de Imperia, se sont retirés à la troisième étape).

Comme déjà dit, la compétition a été très dure et la température de 42 degrés Celsius n’a pas facilité notre parcours, en faisant les montées plus dures.

L’escalade au JEBEL EL OTFAL (480 mètres de dénivellation en 500 mètres de distance) a été très fatigante ainsi comme la 4ème étape de 82 kilomètres, terminée en 16 heures où nous avons du traverser deux lacs salés, sous un soleil qui nous a aveuglé car il était si haut de faire disparaitre nos ombres.

En fin, la dernière étape de 23 kilomètres, nous conduisant au GRAND ERG, à travers les grandes dunes du MERZOUGA.

Cette étape a été pour moi la plus fatigante car mon genou ne me soutenait plus et les médecines ne me faisaient plus aucun effet. Pour cette raison, J’ai du m’aider avec le support d’un bâton pour continuer.

Quand Je suis arrivé après 40 heures, ma joie était si grande que Je me suis oublié de toutes les fatigues.

A la fin d’Avril, Je vais m’opérer aux deux ménisques de la jambe droite et, J’espère que, en un mois environs, Je pourrai retourner m’entrainer pour la prochaine aventure.

 

 
 
2011

 

N.5

DU MARATHON DU PASSATORE A' LA COURSE DE 750 KMS PRO SLA
 

Après longtemps, une compétition sans problèmes! Le marathon du PASSATORE 2011 c’est bien passée et j’ai été a même de le terminer en 9 heures, 32 minutes et 26 seconds : je me suis classé 74eme absolu.

Depuis les premiers kilomètres, je me rendais compte que je pouvais améliorer le temps de 2009 et ainsi, pas après pas, avec l’aide de mes amis Riccardo Franceschini (mon entraineur), Roberto Scordamaglia, Antonella Farina, Callo Paolo, Davide D’Amanzo, Riccardo Bacci et ma femme Gloria, J’ai réussi à arriver à Faenza avec 37 minutes et 27 seconds en moins.
Au départ, J’étais avec mon ami Quilico Riccardo qui, comme moi, étais à la seconde épreuve sur ce parcours.

Malheureusement, à cause des problèmes alimentaires, il ne réussissait pas à marcher du même pas que moi et, sur la montée de la Colla, j’ai été obligé à le laisser, avec l’espoir qu’il finisse la compétition. Il restait avec son père Davide, Paolo et Riccardo Bacci qui, de temps en temps, me donnait des nouvelles sur sa condition. J’ai été très heureux quand je l’ai vu franchir la ligne d’arrivée, cependant les difficultés, en 10 heures et 9 minutes, en terminant la course, déjà abandonnée l’an dernier au 68eme kilomètre.

Passée  le marathon du Passatore, ma plus grande préoccupation c’étais celle de partir deux semaines après, exactement  le 11 June pur la compétition de 750 kms en faveur de la SLA, course non-compétitive mais qui engageait beaucoup et qui partait de Parma pour La Spezia, en passant pour Perugia, en rentrant sur la cote Adriatique jusqu’à Padova. Tout ça pour sensibiliser tout le monde et recueillir des fonds pour la recherche sur la terrible maladie.
Avec moi, il y avait les amis Michele Roveredo ( président de l’ASLA) de Pordenone et POPOF( Filippo Poponesi) de Perugia.

La course prévoyait une moyenne de 75 kilomètres par jour et un de repos tandis que pour manger et dormir nous nous servions de 3 campeurs, guidés par les amis Domenico, Giannino et Giuliano qui faisaient même fonction de cuisiniers. Les prises photographiques étaient faites par Alessandro et Lele avec la collaboration de Mery et Martina. Les shorts et les T-shirts pour la course étaient parrainés par « VERI EROI » de Massimiliano Ferla qui, de temps en temps, courrait avec nous.

Les passages dans les différentes villes étaient beaux et émotionnants : à Pontremoli il y avait la bande qui nous attendait ; à Castelnuovo Magra, mon pays natal, il y avait le maire, le conseilleur, les amis de Giacò, les alpines, l’AVIS communal, la PROLOCO et d’autres associations.
Puis le passage à Perugia, pays de Popof, a été fantastique, avec beaucoup d’athlètes et personnalités qui nous attendaient tandis que le conseilleur du sport nous recevait dans la salle de Notari.

Et c’était comme ça, toutes les fois que nous passions par une ville : Firenze, Arezzo, Gubbio, Ferrara et d’autres.

La plus grande émotion c’a été quand je suis arrivé à Padova, très fatigué, mais encore desidereux de courir : à nous attendre, il y avait une délégation de malades de SLA avec les autorités locales et d’autre associations. Après la bénédiction dans la cathédral de Padova, nous nous sommes joints à une autre petite course, organisée pour notre arrivée, dans laquelle nous devions pousser les voitures d’infirme des malades de SLA pour 500 mètres.

Tout ça m’a rendu un peu plus faible mais m’a gratifié et m’a rempli le cœur de joie.
Maintenant, je me reposerai  quelques semaines et puis je commencerai encore mes entrainements pour des courses compétitives, sans exclure des courses pour des buts bienfaisants.

 
 
2012

 

N.6

12 heures non-stop pour aider les enfants qui souffrent de SMA

 

L’an 2012 a commence très bien même si j’espérais en quelque chose de meilleur sur mon temps du marathon de Milano: 3 heures et 11 seconds. Je peux dire que je suis satisfait car, en considérant que j’ai eu une préparation peu appropriée  à cause de quelques accidents, j’ai réussi tout de même à améliorer mon temps de 5 minutes.
Le rêve le plus beau de  l’an 2012 m’a été donné par l’UltaSMArato, une compétition située dans le centre historique de Sarzana. L’idée est venue de Tonini Giampaolo, standardiste à l’hôpital de Sarzana, qui, ayant su de ma participation au Marathon de 750 kms pour la SLA de l’an dernier, m’a demandé si je pouvais faire quelque chose dans notre province. Il m’a proposé une course en faveur de la SMA, une maladie qui frappe même les enfants les plus petits. J’ai accepté tout de suite et avec Massimiliano Ferla (VERIEROI) nous nous sommes joints comme les trois mousquetaires.
Mais D’Artagnan manquait et Nous l’avons trouvé dans la mairie de Sarzana: l’assesseur du sport Giovanni Vasoli qui, avec la princesse Rosanna Pittiglio, femme assesseur pour les politiques sociales et avec les nombreux  “ comtes et barons” comme le docteur Giancarlo Mione, responsable de la CARITAS; il ont tous collaboré à notre projet.
Le premier pas; il était de trouver la personne pour laquelle nous devions courir: Nous avons pensé à Lorenzo, un enfant de Sarzana, très intelligent et fort, qui souffre de cette terrible maladie et qui est totalement paralysé mais il a deux formidables parents. Puis Nous avons pensé à quoi faire : vu mon habilité dans les longues distances , J’ai pensé à une course non-stop de 12 heures dans le centre historique de Sarzana, un circuit d’un km environs à parcourir sans interruptions.
 L’idée a fait un peu de peur car personne ne pensait que je pouvait le faire et ils ont tous cherché à me dissuader mais sans succès.
Après nombreuses réunions, le projet a été approuvé par tous et nous avons choisi la date du 23 juin avec l’espoir du beau temps.
Tout était prêt mais……..
Nous nous  n’attendions pas que dans ce projet si beau, il y avait aussi des méchants. Et bien, oui, il y a et même beaucoup d’eux.
Le fameux groupe des associations sportives de Sarzana qui, de bons servants de messe sont devenues des Dèmons seulement parce qu’elles n’y avait pas pensé elles-mêmes. A’ partir de ce moment-là, une grande bataille a commencé, pleine des mots et de coups bas et ils ont cherché à boycotter tout. Ils auraient réussi si D’Artagnan n’était pas intervenu. Et ainsi, nous avons poursuivi ce projet jusqu’au 23 juin, date préfixée,  grâce aussi à quelques sponsors d’associations pour handicapés: CONAD et la mairie de Sarzana.
Le matin à 8 heures je suis parti de chez moi mais j’étais très agité. Le temps était beau avec une temperature de 23 degrés.
Je ne pouvais pas me permettre de me tromper.
 Quand je suis arrivé en place Matteotti, j’ai vu beaucoup d’amis, prêt à courir avec moi , en prenant la relève d’eux même, de temps en temps. Mais le devoir de courir pour 12 heures c’était à moi. Beaucoup de gens étaient venus de Parma, Varese, Carrara, La Spezia et de toutes les villes voisines et même beaucoup d’amis de Sarzana qui n’appartenaient pas à aucune association. A’ 9.15, Je suis parti, avec un peu de retard parce que D’Artagnan qui devait courir le premier tour avec moi, n’était pas là. Je l’ai menacé que j’aurais repris le quart d’heure à la fin de la course.
Nous sommes partis, les heures passaient, les amis étaient de plus en plus et même la température augmentait et, après 5 heures, j’avais parcouru 50 kms.
Soutenu de ma femme Gloria, de mon sur ami Donenico et de mon docteur sportif Salvatore Marchini, je continuais ma course jusqu’à 21 heures. En ce moment-là, D’Artagnan avait cherché à m’arrêter mais je lui a rappelé ce que j’avait dit le matin : 12 heures devaient être 12 heures. En fin, j’ai terminé ma course entre applaudissements et embrassements. Les méchants étaient dans un coin, en proie à la rage : ils avaient perdu une chance de faire une bonne impression.
Mais la chose la plus belle, c’était la participation des gens et leur joie : Nous avons recueilli 4000 euros environs à affecter au petit Lorenzo pour l’achat du matériel dont il avait besoin.
Après un mois de repos, j’ai repris la préparation pour un marathon, celui de Pisa. Je voulait baisser mon temps sous les 3 heures mais, malheureusement, à cause de plus d’une influence et pour le grand effort de la course de Sarzana, j’ai terminé ma compétition en 3 heures, 1 minute et 1 second : 2 seconds plus de ce que je m’attendais. J’étais et je suis en peu déçu, même si mon temps est toutefois un bon temps, en considérant que j’ai 54 ans.
Je n’ai encore décidé rien pour l’an 2013. Je laisserai passer l’an lentement, en prenant ce qui arrive, conscient que les années passent et la fatigue augmente ; les distances ne diminuent pas mais elles s’allongent beaucoup.
Mais, moi-même, je n’ai pas l’intention de m’arrêter et j’espère que je réussirai à faire de nouvelles performances. Angelo

 

 
 
2013 - 2014

 

 

N.7

PEU DE COURSES MAIS DE BONS RESULTATS

 

Courir en 2012 a été vraiment beau soit pour les competitions que pour les résultats obtenus mais “ l’addition doit etre payée” et mon corps a cédé ainsi que le 2013 a passé entre une maladie et l’autre  me donnant la seule possibilité de faire le Marathon de Paris et quelques autres petites courses sans m’efforcer beaucoup.
La chose positive de toute l’année a été, en effet, le Marathon de Paris, non pas seulement par le résultat obtenu (3H24’38” me classant à la 3855eme place sur 49650 arrivés) mais aussi parce que courir dans une grande et belle ville comme Paris ensemble à 50.000 personnes  est une grande satisfaction.
Je pensais que le 2014 serait le meme de l’année dernière avec quelque grippe mais, lentement, je suis reparti et après la Cortina-Dobiaco( 30 kms de très belle compétition sur un terrain deformé dans un paysage qui laisse sans soufflé) couru en 2H15’16” , 16eme dans ma catégorie mm55 et 418eme absolu sur 4427 arrivés, j’ai commencé à faire des compétitions plus courtes comme la“Corrilunigiana” en occupant souvent les premières places de ma catégorie mm55.
Mais la surprise est arrive à la fin de l’année quand je me suis trouvé à occuper la 2nde place de catégorie au Marathon d’ Italie à Carpi(MO) et, après seulement deux mois, je franchissais la ligne d’arrivée, premier de catégorie au Moyen- Marathon de Pisa.
Le travail que j’ai fait m’a recompensé beaucoup et, maintenant, je voudrais continuer sur cette “rue” pour avoir encore de belles emotions pour ce 2015 qui vient de commencer. J’éspère de tout Coeur.

 

 
 
2015

N.8

Un discrète 2015


En racontant de 2015, en ce qui concerne les courses, je n'ai pas beaucoup à dire: presque une photocopie de l'année dernière.

Au mois d'Avril j'ai fait le demi marathon of Orbetello, en arrivant au deuxième place de categorie, en arrêtant mon temps a 1h34m08s, temps plus haut de mon personnel.

J'ai continué à courir, en répétant la Cortina-Dobbiaco, le 31 Mai, en 2h17m19s. Au mois de June je me suis mis à l'épreuve en courant la Pistoia- Abetone et j'ai réussi à baisser mon vieux temps de 15 minutes en 5h09m13s. Au mois de Juillet , j'ai couru la Salitredici qui va de Abbadia San Salvatore au Monte Amiata, 13 km d'une belle compétition dans une montée qui caisse les jambes , à travers les anciens bois du Monte Amiata.

J'ai fait de différentes compétitions de 10000m environ et, surtout,  des courses de Corrilunigiana.
Au mois de Septembre,  à cause de la fatigue physique mais, surtout mentale,  j'ai décidé de m'arrêter et je ne me suis pas entraîné pour toute l'année, une sorte de détoxication de course, avec l'exception du marathon de Livorno, le 8 Novembre,  dans le relais à quatre, en couvrant la distance plus longue de 14km et 200m en 1h4m17s.

Mais ce que m'a plus donné de satisfaction,  c'était avoir organisé la première édition de "Corri Castelnuovo ", une course de 9km avec Brizzi Michela, de mon même pays . En 15 jours seulement,  nous avons préparé la compétition qui a enfin eu du succès selon l'opinion des participants. Sûrement,  elle aura lieu de nouveau la prochaine été de 2016.

Maintenant,  j'attends le début du nouvel an.Puis, en Janvier,  je reprendrai  à m'entraîner en espérant réussir à parcourir la compétition de 100km Firenze-Viareggio qui est à la première édition.
Voyons si mes jambes réagiront bien cependant mon âge de 57 ans.